lundi 15 octobre 2012

Je vous la fais courte...


C'est simple je n'ai pas passé un super week-end pour différentes raisons. L'une d'elles, c'est le réveil de ma patte folle hier. Jusqu'à samedi, cela allait plutôt bien. Des petites douleurs de temps en temps mais rien d'insupportable. C'était trop beau pour que cela dure. Dimanche matin, je me réveille à 6h30. J'ai l'impression que mon mollet, mon pied servent de poupée vaudou, que l'on enfonce des aiguilles. Je décide de me lever pour rejoindre la cuisine et prendre un cachet. Je suis tellement obnubilé par la douleur qu'en voyant l'heure sur le radio réveil, qui est celle à laquelle je me lève en semaine, que je pense que l'on est lundi. C'est une fois dans la cuisine et le fait de marcher un peu, cela estompe un peu la douleur, que je réalise que l'on est dimanche. Je retourne me coucher et je réussi à me rendormir jusqu'à 11h environ. Il faut que je sorte faire quelques courses et là c'est l'horreur, je me traîne dans les rayons du supermarché en boitant. De retour au topheappart, je m'avale sur le canapé que je ne quitterai pas du reste de la journée. Au moment de me coucher, je sais que la nuit va être difficile. La douleur est toujours là. Je tourne, je vire dans le lit à la recherche de la bonne position. Je réussi à m'endormir pour me réveiller à 2h30. Je me lève pour marcher un peu dans l'appart et retour au lit. A 4h, le même scénario. Je n'en peux plus. Je m'allonge même sur le canapé quelques minutes avant de retourner me coucher. A 6h, je suis réveillé. Un café, les médocs qui commencent à me donner mal à l'estomac, une douche et direction le bureau où j'arrive du coup peu après 8h. Et là, c'est pas trop la joie. Impossible de rester assis plus d'une heure. Je vais alors marcher un peu dans le couloir. C'est après-midi, j'ai une réunion de 2h. Je sens que cela va être du sport. De toute façon, je pars tôt et direction le toubib ce soir. Je ne sais pas ce qu'il va pourvoir faire à part me filer des médocs encore plus fort pour me soulager. A moins comme m'a dit un collègue en me voyant trainer ma patte folle ce matin
 " Il va falloir abattre la bête !"

Chris

1 commentaire:

  1. BAh mon canard c est pas ta semaine toi désolé pour toi ! C est pénible d etre stoppé net par des problèmes techniques . Aller ce n'est qu'un de ces moments qui nous rappellent quand tout va bien ...

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